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Arles: une ville bonne à vivre

3 raisons qui font d’Arles: une ville bonne à vivre

Avec un patrimoine architectural idyllique, une situation géographique privilégiée au cœur de la Provence, il faut dire qu’Arles affiche un marché immobilier attractif. C’est une ville à vivre ! Voici les trois raisons qui l’indiquent.

1.      Ces quartiers abordables

Située sur le Delta du Rhône, à 27 kilomètres de Nîmes et 80 km de Marseille, Arles octroi l’acquisition de logements sociaux dans ses quartiers les plus abordables, vers la périphérie du cœur historique : Trébon, Montplaisir, Alyscamps et Barriol, afin de répondre en mieux aux fortes demandes de maisons individuelles avec jardin. Et même si aujourd’hui, il devient rare de trouver des biens de 80 m2 avec jardin exposés plein sud dans des quartiers résidentiels, il reste tout de même possible d’en acquérir ou d’en construire en tournant vers une agence spécialisée qui propose un terrain à vendre Arles constructible.

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2.      La vieille ville réhabilitée

C’est vrai qu’il faut payer un peu plus pour vivre dans la vieille ville, pour imprégner l’histoire dans l’enceinte médiévale, notamment dans les quartiers : Hauture, Méjan, Cité, Cavalerier/Portagnel et Roquette. Ce secteur regorgé de monuments et d’héritages d’il y a 2000 ans d’histoire, est extraordinaire pour vivre. Et heureusement, il a été réhabilité au cours de ces dernières années. Grâce à des dispositifs d’aides à l’accession aux logements, de nombreux appartements et maison à vendre Arles ont été rénovés. D’autres biens immobiliers à loyers modérés stimulent le marché de la location.

3.      Stabilisation des prix générale

Si le nombre de ventes sur Arles s’est reculé de 10 % en seulement une année, les arènes affichent alors une baisse de 4 % des prix générale. Dès lors les prix varient entre 2 200 euros et 2 400 euros le mètre carré. Néanmoins dans la Roquette, qui est un quartier historique ; constitué de biens immobiliers dégradés en nombre et qui ont été rénovés ; le prix du mètre carré demeure fixe, c’est-à-dire stagnant, de 2 500 euros. Idem pour le quartier des Alycamps, le prix se stabilise, soit de 2 000 euros le mètre carré des maisons des anciennes des années 1970 et de 2 200 euros pour les maisons des années 1960. Les villas les plus anciennes des années 1950 plafonnent quant à elles jusqu’à 2700 euros le m2. Les immeubles des années 1960 perdent 5 % de leur valeur. Même constat pour les logements à vendre à St Rémy de Provence.

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La vieille ville qui est devenue accessible, les quartiers abordables où les prix de l’immobilier stagnent, sans parler des baisses de prix de 5 % sur St Rémy de Provence, des immeubles des années 60 qui se négocient à 1200 euros… D’autant plus qu’en termes d’immobilier : investir dans l’immeuble de rapport dans une ville telle qu’Arles peut être bénéfique. Des aides à l’accession aux logements s’offrent aux personnes qui souhaitent vivre à Arles, notamment ceux qui ont des revenus modestes. De bonnes raisons pour habiter à Arles et profiter des opportunités arlésiennes.